UN PARCOURS AU SON DE LA RIVIÈRE AKIAWENRAHK’

Aménagement d'un escalier vers la chute Kabir Kouba

Enjeux : Biodiversité et conservation, Changements climatiques, résilience et adaptabilité, Espaces à échelle humaine, Mobilité durable et active

Champs d'intervention : Conception et gestion de parcs et d'espaces verts, Design urbain et espaces publics, Développement de quartiers, Espaces en rive, Mise en valeur et conservation de la biodiversité et des paysages, Paysage, intervention paysagère, analyse visuelle, Protection et mise en valeur du patrimoine, Tourisme, Planification territoriale

DESCRIPTION

DESCENDRE LA FALAISE AU RYTHME DE LA CHUTE KABIR KOUBA

Pour descendre dans le canyon où se jette la chute Kabir Kouba, on emprunte un spectaculaire escalier en bois construit à flanc de falaise. La structure de 146 marches comporte plusieurs paliers et un belvédère qui offre une vue sur un méandre de la rivière Akiawenrahk’.

UN PROJET À LA HAUTEUR DE SON ENVIRONNEMENT

Le contexte de réalisation de cette œuvre grandiose a posé des défis uniques : étant donné l’impossibilité de déployer un chantier sur le terrain accidenté et pour ne pas endommager la végétation, l’ossature d’acier a été fabriqué en atelier et déposée sur des pilastres de béton à l’aide d’une grue. Le parcours ainsi tapi dans la forêt intacte plonge le promeneur dans une atmosphère sereine alors qu’il suit le son de l’eau s’écoulant à ses côtés.

OBJECTIFS DU PROJET

Concevoir un parcours de découverte où la nature nous accompagne en permanence.
Créer des percées visuelles spectaculaires vers la rivière Akiawenrahk’.
Utiliser des matériaux naturels qui se greffent à la nature existante.

DÉFIS ET SOLUTIONS

Défi: Intervenir sur un site accidenté et créer une structure sécuritaire.
Solution : L’ossature en acier de l’escalier a été fabriquée en atelier ensuite déposée sur des pilastres en béton par une grue.
Défi : La pérennité de la structure qui se veut naturelle.
Solution : Une structure en acier et du bois franc pour les garde-corps et les marches. Un entretien régulier des lieux a également été confié à la Société de la rivière Saint-Charles.