Les infrastructures végétalisées pour augmenter la résilience des villes aux changements climatiques
- 7 février 2022
- Changements climatiques
- Lutte aux ilôts de chaleur
- Verdissement
Source : inrs.ca
Chercheur postdoctoral, Maxime Fortin Faubert met les infrastructures végétalisées au cœur de ses recherches pour augmenter la résilience des villes aux changements climatiques.
Originaire d’une petite ville de la campagne, Maxime Fortin Faubert a vécu son arrivée à Montréal comme un choc. « Presque toutes les surfaces étaient utilisées et recouvertes de matériaux imperméables comme le béton. C’était un non-sens ! » souligne le nouveau postdoctorant à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS).
Durant son doctorat en biologie à l’Institut de recherche en biologie végétale (IRBV) de l’Université de Montréal, il a découvert tous les services offerts par la végétation pour résoudre des problématiques environnementales. Son projet portait sur la phytoremédiation, c’est-à-dire la décontamination des sols avec les plantes.
Maxime Fortin Faubert leur a proposé de développer un outil afin d’évaluer le potentiel d’utilisation des terrains vacants, potentiellement contaminés, pour la plantation d’arbres.
En fonction de plusieurs critères comme la température de surface ou la vulnérabilité aux inondations, cet outil d’aide à la décision permet de déterminer quels terrains seraient prioritaires à verdir.
Maxime Fortin Faubert, nouveau postdoctorant à l’INRS
Voyez la première capsule qui a pour sujet les infrastructures naturelles :